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AAnne-Sophie

Le président américain a affirmé que "la vérité compte" en réaction à la décision du réseau social détenu par Mark Zuckerberg d'abandonner sa politique de modération. Cette déclaration souligne l'importance de la véracité des informations diffusées sur la plateforme et soulève des questions sur les implications de cette nouvelle approche en matière de contenu.

GGilles

Trois jours après avoir considérablement assoupli ses politiques de modération de contenus, le géant des réseaux sociaux montre son soutien à la future administration Trump. Cette décision s'inscrit dans un contexte de changements significatifs dans la gestion des contenus sur la plateforme, reflétant une volonté d'adapter ses pratiques aux attentes politiques émergentes.

VValentin

Facebook a annoncé qu'il fournirait les adresses IP demandées par la justice, notamment lorsque celles-ci sont liées à la diffusion de contenus haineux. Cette déclaration a été faite par Cédric O, le secrétaire d’État français au numérique.

EElora

Le fondateur de Facebook s'affiche avec le futur président des États-Unis, rejoignant ainsi d'autres grands patrons du numérique. En échange de son soutien, il sollicite la protection du républicain contre les régulations européennes.

TTristan

Mark Zuckerberg a annoncé la suppression du programme de fact-checking sur Facebook, Instagram et WhatsApp, affirmant vouloir favoriser la « liberté d’expression ». Cette décision suscite des inquiétudes et est perçue par certains comme un soutien à Donald Trump. Les implications de ce changement pour les utilisateurs restent à déterminer.

jJohan

Meta a modifié ses « standards de la communauté » aux États-Unis en retirant l'affirmation selon laquelle les discours de haine « créent un environnement d’intimidation et d’exclusion et, dans certains cas, peuvent favoriser la violence hors ligne. » Cette décision soulève des questions sur l'impact des discours de haine et la responsabilité des plateformes en matière de sécurité et de bien-être des utilisateurs.

dDjibril

Chez Meta, le programme de fact-checking a été abandonné aux États-Unis. Cette décision de Mark Zuckerberg soulève des interrogations éthiques concernant la vérification des informations et la responsabilité des plateformes numériques dans la lutte contre la désinformation. Les implications de ce changement pourraient avoir un impact significatif sur la manière dont les contenus sont gérés et diffusés.

MMatei

Le groupe dirigé par Mark Zuckerberg annonce la fin de son programme de fact-checking aux États-Unis. Cette décision marque un changement significatif dans la manière dont l'entreprise gère la vérification des informations sur sa plateforme. Les implications de cette mesure sur la diffusion d'informations et la lutte contre la désinformation restent à évaluer.

GGregoire

Meta cherche à intégrer l'intelligence artificielle générative dans les flux des utilisateurs de Facebook et d'Instagram, allant jusqu'à en faire une caricature. Des bots IA, se faisant passer pour des personnes réelles, ont été déployés pour influencer les utilisateurs. Bien que le groupe ait supprimé ces profils, il est probable que d'autres apparaissent à l'avenir.

sStella

Meta a nommé Joel Kaplan, ancien dirigeant républicain, pour remplacer Nick Clegg en tant que responsable des affaires internationales. Cette nomination survient alors que de nombreuses grandes entreprises technologiques cherchent à s'attirer les faveurs de l'administration Trump.