Actions de Renault pour améliorer son impact social et environnemental, communiquées par l’entreprise.
Le Moralscore est établi par nos Analystes. Chaque entreprise est notée selon 264 critères regroupés en 10 catégories. Les notes sont sur une base 100.
Avec les utilisateurs de Moralscore, nous traquons toute l’actualité qui reflète l’éthique des entreprises et des personnes. Ces infos permettent de calculer leur Réputation.
vVanessa
À l'usine Renault de Sandouville, la direction a annoncé le 11 mars la non-reconduction de plus de 300 intérimaires en raison d'une baisse des commandes. Cette décision suscite des inquiétudes parmi les syndicats, qui dénoncent une «précarisation pérenne des salariés indispensables». Les travailleurs se retrouvent dans une situation incertaine, comparée à un jeu de survie, où la question de qui restera et qui partira se pose.
jJal
À l'usine Renault de Sandouville, la réduction des effectifs d'intérimaires est annoncée, passant de 600 à 300 personnes. Cette décision est motivée par une baisse des commandes sur le marché des utilitaires. Renault explique cette mesure par la nécessité de s'adapter à un marché en recul. Les syndicats, quant à eux, soulignent que cette réduction vise également à éviter des amendes de l'Union européenne liées aux émissions de CO₂.
jJane
Le PDG de Renault, dont la rémunération annuelle s'élève à 5,5 millions d'euros, soit 260 smics, défend son salaire en évoquant ses longues heures de travail, allant de 60 à 80 heures par semaine. Cette déclaration soulève des questions sur la justification d'une telle rémunération face à l'intensité de son engagement professionnel.
AAmelie
L'usine Sovab de Batilly, productrice du nouveau Renault Master, a décidé de mettre fin à 737 contrats de travailleurs intérimaires et d'arrêter le travail de nuit. Cette décision a été annoncée lors d'une réunion du CSE le 30 janvier, en réponse à un contexte économique défavorable pour l'industrie automobile et à un manque d'intérêt du public pour ce type d'utilitaire.
mMarie
La Fonderie de Bretagne, ancienne filiale de Renault, est menacée de démantèlement, comme de nombreuses activités de l'industrie automobile, affectées par la délocalisation et le dumping social. Jack Dion souligne l'absence de l'État, qui détient toujours 15 % du capital de Renault. Malgré les déclarations des ministres, aucune action concrète n'est entreprise pour garantir un engagement national de la part de ce groupe lié à l'histoire du pays.
LLuan
Plusieurs responsables syndicaux et députés demandent au président de la République d'intervenir auprès de Renault. Ils souhaitent que le constructeur s'engage à maintenir des commandes pour la Fonderie de Bretagne (FDB) jusqu'en 2028, alors que celle-ci est menacée de fermeture.
AAurélie
Renault, principal client de la Fonderie de Bretagne jusqu'en 2022, refuse de s'engager sur des volumes de commandes après 2025. Malgré les efforts du gouvernement pour convaincre le constructeur, ceux-ci n'ont pas abouti. En Bretagne, cette situation est perçue par les syndicats et le patronat comme un symbole de la désindustrialisation.
😇 👿
Un nouvel article de presse polémique ou vertueux ?
Un avis ou une expérience vécue ?
📣😀🔊⭐️🔔👏🏼📢⭐️💬🏆
Personnalisez vos valeurs pour obtenir un classement à votre image. Cela ne prend que 2 minutes.
Moralscore vous permet de favoriser les entreprises qui respectent le mieux vos propres valeurs morales ⚖️. Nous les passons au crible, à travers plusieurs dizaines de critères 🔍. Nous pondérons ces critères selon vos valeurs pour leur attribuer un score moral simple et personnalisé 🎯. Préférer les entreprises les plus vertueuses pour vous devient un jeu d’enfant 🎈🎈🎈.
Entrez votre email pour être notifié de la mise en ligne de nouveaux secteurs 💐💰, ou suivez nous sur les réseaux sociaux pour rester au courant.
Quand vous faites les magasins ou vos achats en ligne, dégainez la nouvelle app Moralscore à tout moment pour découvrir si une marque est éthique et s'il existe des alternatives.
VVirginie
Renault a annoncé la suppression de 323 postes d'intérimaires dans son usine de Sandouville, située en Seine-Maritime, en raison d'un ralentissement du marché des utilitaires en Europe. Malgré cette réduction d'effectifs temporaires, le groupe prévoit de maintenir son plan de recrutement de 550 contrats à durée indéterminée et déterminée d'ici 2028, ainsi que le lancement de la production de véhicules électriques à partir de 2026.