Uber Eats [[overallScore]]

KKit

À Lille, les livreurs sans papiers dénoncent un harcèlement policier croissant, marqué par des contrôles d’identité fréquents et des interpellations. Face à cette situation, ces travailleurs précaires se sont unis au sein d'un collectif pour revendiquer leur régularisation. Cette mobilisation vise à attirer l'attention sur leurs conditions de travail et les difficultés qu'ils rencontrent au quotidien.

mMael

Uber Eats a décidé d'instaurer un revenu minimal de 3 euros par course pour ses livreurs de repas à domicile. Cette mesure intervient dans un contexte où les conditions de travail et de rémunération des livreurs sont critiquées depuis plusieurs années. L'initiative vise à améliorer la situation des travailleurs dans un secteur souvent pointé du doigt pour ses pratiques.

OOlivier

La rémunération des livreurs à vélo a connu une forte baisse au cours des quatre dernières années. Chez Uber Eats, le taux horaire brut a chuté de 34,2 %, tandis que chez Deliveroo, il a diminué de 22,7 %. Cette tendance soulève des préoccupations quant aux conditions de travail et à la viabilité économique de ces emplois dans le secteur de la livraison.

GGrégoire

Uber Eats a été au cœur d'un stratagème clandestin à Toulouse, où des sans-papiers étaient employés grâce à des comptes prêtés. La police a démantelé ce système illégal après qu'un livreur a révélé les pratiques en cours. Cette opération met en lumière les conditions de travail précaires et les abus auxquels sont confrontés les travailleurs sans-papiers dans le secteur de la livraison.

AAntoine

L'Anses a publié un avis le 26 mars, mettant en lumière les dérives du « management algorithmique » utilisé par les plateformes de livraison de repas comme Uber Eats et Deliveroo. L'agence de sécurité sanitaire s'inquiète des conséquences de ce modèle de gestion, qui pourrait entraîner des problèmes tels que le burn-out et des accidents parmi les livreurs.

cCamille

Les livreurs de repas chauds d'Angoulême perçoivent un salaire brut mensuel d'un peu plus de 1 000 euros. Leur facturation moyenne s'élève à 2,85 euros par kilomètre. Ces travailleurs, souvent allophones et étrangers, sont gérés par un algorithme qui régule leur activité quotidienne. Cette situation met en lumière les conditions de travail de ces livreurs dans la ville.